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Jeudi 8 décembre 2022 Hello, vous doomscrollez ?
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Dès le réveil, 77% des 18-24 ans ont pour habitude de démarrer leur journée en faisant défiler machinalement des images ou des vidéos sur leur écran (La place du numérique dans la routine matinale des Français, sondage Nord VPN, 2022). Et on ne s’arrête pas. Cette pratique entraîne une exposition croissante à des sujets joyeux, à des sujets drôles entremêlés d’autres sujets tristes, anxiogènes et stressants, amplifiés par le défilement infini, sans pagination. Ce défilement a un nom, apparu en 2018 sur Twitter – le “Les contenus anxiogènes sont ceux qui attirent le plus le clic, le partage ou le commentaire et nourrissent donc plus les algorithmes. Et l’intérêt des réseaux sociaux est de nous faire revenir sur les applications. ” explique Olivier Duris, psychologue clinicien, spécialisé dans les usages numériques et interviewé pour la newsletter Les Petites Glo. “Quand les gens ne sont pas au courant de ce mécanisme, ils tombent dans le piège sans s’en rendre compte.” Les algorithmes nous exposent le plus possible Le doomscrolling a un impact sur la santé mentale des jeunes, tranche de la population ultra connectée à son portable, qui passe un moyenne de fois plus de temps que la moyenne des français, selon une étude Médiamétrie. Il ne va pas créer des angoisses. En revanche, il va les accentuer. “Les personnalités fragiles, ayant déjà des difficultés, Tout le monde est vulnérable face à ce phénomène. Il est possible d’avoir une consommation plus réfléchie de nos réseaux sociaux. Olivier Duris explique que “pour se rendre compte que l’on est Depuis l’annonce le 15 août dernier, Tom Holland n’est revenu que deux fois sur la plateforme, pour promouvoir des organisations caritatives. L’une d’entre elles, stem4 est spécialisée dans la santé mentale des adolescent·e·s, et a pour but de favoriser le développement d’une bonne santé mentale chez les adolescent·e·s grâce à des actions de sensibilisation, des apps ou encore des informations sur leur site web. Lorsque Tom Holland a pris la parole sur Instagram, il a
Trois questions à Jeremy Nadeau (en vrai y en a quatre)Youtuber, stand-upper et acteur, Jeremy Nadeau multiplie les casquettes pour notre plus grand plaisir. Actuellement au théâtre du Point Virgule, il nous raconte toutes ses galères entraînant une bonne dose de fous rires. Comment ça va ? Beaucoup mieux ! Il y a toujours des petites choses qui ne vont pas mais je ne les laisse pas prendre trop de place et je tente d’identifier pourquoi je me sens comme ça. Je me suis rendu compte que le travail me rend heureux – ou du moins m’empêche d’être malheureux. Que fais-tu pour te réconforter ? J’ai encore du mal avec ça, je me renferme un peu sur moi-même et je m’autorise à aller mal et Quel était ton rêve quand tu étais enfant ? Quand j’étais petit, je faisais du cirque et c’est ainsi que j’ai décidé de devenir clown. Cela me plaisait de faire rire les gens. Ce qui est assez paradoxal est que j’adore ce moment où je suis sur scène avec tous les regards sont sur moi, je raconte des choses et les gens rigolent mais je déteste la foule. La phrase qui te guide au quotidien ? C’est quand tu as peur de sauter qu’il faut sauter.
Le mental fitness des Petites Glo Cette semaine, on t’aide à passer moins de temps sur les réseaux sociaux avec des petites astuces toutes simples à mettre en place. Un gain de temps qui permet de se concentrer sur d’autres activités, comme la lecture, passer du temps physiquement avec ses proches, pratiquer une activité physique, artistique… On recommande vivement…Le compte Instagram Et si tu posais ton tel Le podcast Les Maux Bleus, dire la santé mentale Le livre Une année de philosophie de Marie Robert
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