Cette newsletter vous a été transférée ? Et vous aimez tellement que vous souhaitez vous inscrire ? C’est ici ! Mercredi 28 juin 2023 LA liste *** Mille mercis pour vos achats, cela compte BEAUCOUP pour nous /// Vous souhaitez nous soutenir ? C’est encore possible en commandant quelque chose de la boutique ici. Merci beaucoup <3 *** Lorsque je pense livre d’été, j’imagine tout de suite *** une flânerie de ma librairie préférée (j’en profite pour partager le crowdfunding de la librairie que j’adore Un livre et une tasse de thé) *** une histoire qui m’aspire et me transporte dans un monde que j’aurais dû connaître depuis toujours *** et des pages qui se tournent toutes seules Les livres d’été, c’est les vacances dans les vacances. C’est pourquoi je vous propose une petite sélection qui, si vous appréciez cette newsletter, ne vous déplaira pas. Et vous, qu’allez-vous lire cet été ? Aidez-moi à faire ma propre liste en répondant à cet email ! L’essai qui va vous montrer une autre vision du sexe, Le droit au sexe. Le féminisme au XXIe siècle, PUF, traduit par Noémie Grunenwald, 2022. Le roman d’amour qu’on ne présente plus, Normal People, Sally Rooney, Edition de l’Olivier, Traduit de l’anglais (Irlande) par Stéphane Roques, 2021. Le livre préféré du plus grand nombre de personnes sur cette planète, Jane Eyre de Charlotte Brontë, 1847. Le roman qui nous fait faire le tour du monde en bateau pendant qu’on reste sur le transat, Le Marin de Gibraltar de Marguerite Duras. Le livre à lire si vous avez une panne d’écriture et que vous souhaitez vous y (re)mettre, Dérives, de Kate Zembreno, Editions La Croisée. Vous pouvez également avoir un avant-goût en lisant son entretien pour cette newsletter. Le livre qui fait 1 472 pages mais qui se lit d’une traite, Correspondance : (1944-1959), Albert Camus et Maria Casarès, Gallimard. Le livre qui nous projette en Italie, Les Petits Chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras. L’essai qui dit la vérité sur l’amour, A propos d’amour, bell hooks, Editions Divergence. Traduit par Alex Taillard et Florence Zheng. L’essai qui montre pourquoi les médicaments que nous prenons ne sont pas forcément adaptés aux femmes, Femmes invisibles – Comment le manque de données sur les femmes dessine un monde fait pour les hommes de Caroline Criado Perez et traduit par Nicolas Dupin, First Editions, 2020 Le roman policier qui va vous faire adorer la linguistique, La septième fonction du langage Laurent Binet sera parfait. L’histoire d’amour la plus passionnée de l’histoire de l’humanité, Les vaisseaux du coeur de Benoîte Groult, 1988. Le roman qui est un poème et un manuel de jardinage pour les jeunes hommes qui veulent cultiver des fleurs en souvenir de leur mère, Rosa candida d’Audur Ava Ólafsdóttir, publié en version originale en 2007 et traduit par Catherine Eyjólfsson en 2010 aux éditions Zulma. Vous pouvez lire son entretien pour la newsletter ici. L’essai qui permet de comprendre pourquoi l’excellence artistique atteinte par les hommes artistes est finalement assez moyenne quand on connaît le génie de leurs consoeurs, Pourquoi n’y a-t-il pas eu de grands artistes femmes, Linda Nochlin, initialement paru en anglais en 1971 et traduit en français par Margot Rietsch aux éditions Thames & Hudson, 2021. Le roman le plus poétique au monde, « Pour être magnifique, il faut d’abord être vu, mais être vu permet que l’on vous chasse », bienvenue dans le monde poétique de Ocean Vuong, Un bref instant de splendeur, traduit par par Marguerite Capelle, Editions Gallimard 2019 Le livre à lire si vous voulez changer de métier, Mr Gwyn, Alessandro Baricco. Traduit en français par Lise Caillat. Folio Le livre qu’on décrit aujourd’hui comme un ouvrage culte féministe alors qu’il a fait un flop à sa sortie (et accessoirement qui redonne ses lettres de noblesse à la place des femmes dans la création artistique), I love Dick de Chris Kraus, traduit en français par Alice Zeniter, 2026, Editions Flammarion. Les mémoires d’une femme incroyable, Je sais pourquoi chante l’oiseau en cage, Maya Angelou. Traduit par Christiane Besse. Le journal qui livre les secrets d’une grande écriture, Quel soulagement : se dire « j’ai terminé », Viriginia Woolf, Les Belles Lettres. Traduit par Micha Venaille.
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