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Jeudi 24 novembre 2022 Partir un jour ? Sans retour ?“Un jour, j’ai acheté un Berlingo. J’ai mis quelques cartons dans le coffre et je suis partie. J’ai pris la route comme ça. (…) C’est cette histoire dont on a peur de devenir l’héroïne. Celle-là même dont on se dit : “Ce n’est sûrement pas aussi simple de tout quitter.” Avant de réduire tout ce qu’on possède au coffre d’un Berlingo. Et d’en saisir l’étonnante simplicité.” Le moment est venu de répondre à nos propres désirs et non plus aux plaisirs des autres. Cette histoire est celle d’Anaïs Vanel, 32 ans, qui raconte dans son livre “Tout quitter” (Flammarion, 2019) son départ du jour au lendemain de son quotidien Vous n’avez qu’une minute pour lire cette newsletter ? Zappez la lecture et prenez dix secondes pour regarder ce lac.
Ce rêve de changement de vie est envisagé par 48% des français·e·s de moins de 35 ans (sondage Harris Interactive pour Challenges, août 2021). Un chiffre en net progression depuis le Covid qui s’explique par exemple par la recherche d’un équilibre plus sain entre sa carrière et sa scolarité et ses aspirations personnelles. “Cette désagréable impression de décalage nourrit l’envie d’une autre place, les rêves d’autres lieux possibles où s’établir et s’affirmer, suscite le désir des vies qui vont avec, des identités qu’elles recoupent”, c’est ainsi que la philosophe Claire Marin nous aide à préciser L’autrice de “Tout quitter” l’affirme : ce déclic ne fait pas tout. Et changer de vie non plus. « Voici comment j’envisage mes prochaines années, raconte Anaïs Vanel. Continuer à me déprogrammer. Et rédiger ensuite ma propre déclaration de variables. » Car tout quitter est-il Etre à sa place, c’est se connaître. Peu importe finalement si c’est dans la ville où on vit depuis 20 ans ou celle dans laquelle on a débarqué il y a deux jours. Etre à sa place, c’est apprendre à être Ces changements peuvent nous permettre d’être en accord avec la place qu’on a et celle qu’on souhaite avoir. Ils n’ont pas besoin d’être irréversibles ni drastiques. Cela peut
Trois questions à Aurélia Del Sol (en vrai y en a quatre)Aurélia Del Sol est la fondatrice de Face Soul Yoga, une application qui propose des exercices de respiration, d’acupression, de yoga du visage et d’automassage. Ces exercices ont pour objectif d’accompagner les femmes à se sentir bien. Comment ça va ? Ça va plutôt bien ! J’ai la chance d’être au soleil pour ce mois de novembre (toujours délicat pour moi) et même si c’est très intense niveau travail et émotions, j’ai un vrai sentiment de reconnaissance et de joie de faire ce que j’aime au quotidien. As-tu des habitudes pour te sentir bien ? Bouger ! Être dans le mouvement tous les jours. Manger des Que fais-tu quand tu es en manque d’inspiration ? Je ferme tout, téléphone et ordinateur et je pars marcher, respirer. Je lis et si je peux, je vais nager. La phrase qui te guide au quotidien ? Tu dois faire les choses que tu penses ne pas pouvoir faire !
Le mental fitness des Petites Glo Cette semaine, on propose de … passer à l’action. L’objectif est de dépasser le sentiment de “trop plein” et, pour cela, de prendre l’habitude de se fixer des objectifs. On recommande vivement…Le podcast Change ma vie de Clotilde Dusoulier Le livre Être à sa place de Claire Marin Le compte Instagram Justinaccessible pour une dose de bonne humeur
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