“Bon, Mademoiselle, va falloir se détendre !“
À douze ans, pour la première fois, Morgan se rend chez le gynécologue avec sa mère parce que ses règles la font terriblement souffrir.
À douze ans, pour la première fois, Morgan se rend chez le gynécologue avec sa mère parce que ses règles la font terriblement souffrir.
Noémia est étudiante en deuxième année de droit, elle a 19 ans et de longs cheveux noirs. Tous les jours, elle croise Tristan devant le supermarché de son quartier. Il a 21 ans et un bonnet Pikachu.
“Si le jour d’après consiste simplement à refermer la parenthèse, à reprendre le cycle infernal qui a rendu possible ce virus, alors nous aurons perdu.“ Cette phrase, c’est Camille Etienne qui la prononce dans Réveillons-nous
C’était il y a trois ans à peine. Nami, alors âgée de 18 ans, était au gala organisé par le Bureau des élèves dont elle faisait partie.
Dans l’État de Washington, aux États-Unis, les cours d’éducation sexuelle sont récemment devenus obligatoires, de la maternelle à la terminale.
Je ne sais pas vous, mais moi, ça ne va pas. Après un été passé à tenter de reprendre une vie plus ou moins normale, la rentrée m’a remplie de stress, le couvre-feu d’angoisse et ce nouveau confinement de peur. Lors de son allocution du 14 octobre, Emmanuel Macron a dit : “C’est dur d’avoir 20 ans en 2020.“
Je ne sais pas vous, mais moi, ça ne va pas. Après un été passé à reprendre une vie plus ou moins normale, la rentrée m’a remplie de stress, le couvre-feu d’angoisse et ce nouveau confinement de peur. Lors de son allocution du 15 octobre, Emmanuel Macron a dit : “C’est dur d’avoir 20 ans en 2020.“
Dans la nuit du dimanche 30 août, elles s’apprêtaient à écrire “Victimes de violences appelez le 3919“ en lettres capitales sur un pont de Montpellier. Mais ces quatre jeunes femmes du collectif Collages Féministes,
Ça fait aussi mal que de foncer dans une porte vitrée qu’on n’avait pas vue tellement elle est clean. Lors d’un cours d’espagnol, Lucie*, 14 ans, surprend une bande de garçons en train de rire après qu’elle a pris la parole pour répondre à une question de leur prof. “Comme toujours, ils avaient l’air de se foutre de moi“, me raconte-t-elle.
“Nous devons être nombreuses à crier que nous ne sommes pas d’accord et que nous ne laisserons plus rien passer !“ Ces mots sont issus d’un tract distribué par Rachèle, l’héroïne du nouveau roman d’Illana Cantin, Rose Rage.